
Ce chiffre confirme ainsi nos analyses et nos propositions.
Sur le chiffre précis qui est donné ici (+ 5 % de croissance depuis 1975 ; contre + 23 % pour les Préfectures de département par exemple), nous parlons bien à l’agglomération (Unités Urbaines).
C’est important de le préciser si vous êtes amenés à partager cet indicateur, parce que cela signifie que le retard de croissance moyen n’a rien à voir avec l’étalement urbain à l’intérieur des petites agglomérations (pertes de population dans la commune centre et gains dans les communes périphériques de l’agglomération).
Ce sont les agglos des Sous-préfectures, contenant toutes les communes de l’agglo, qui ne gagnent que 5 % de population.
Ces + 5 % sont donc effectivement comparables à la dynamique démographique des agglos de Préfectures, aux agglos des chefs-lieux de canton et aux communes qui n’appartiennent pas à une agglo.
En quelques sortes, le calcul à l’agglomération permet d’exclure les effets de périurbanisation à l’intérieur d’une agglo (perte de la commune centre vers sa périphérie).