Une très faible croissance démographique dans les villes et arrondissements Sous-préfectures sur 50 ans (1975-2025) : seulement + 5 % !

Ce chiffre confirme ainsi nos analyses et nos propositions.

Sur le chiffre précis qui est donné ici (+ 5 % de croissance depuis 1975 ; contre + 23 % pour les Préfectures de département par exemple), nous parlons bien à l’agglomération (Unités Urbaines).

C’est important de le préciser si vous êtes amenés à partager cet indicateur, parce que cela signifie que le retard de croissance moyen n’a rien à voir avec l’étalement urbain à l’intérieur des petites agglomérations (pertes de population dans la commune centre et gains dans les communes périphériques de l’agglomération).

Ce sont les agglos des Sous-préfectures, contenant toutes les communes de l’agglo, qui ne gagnent que 5 % de population.

Ces + 5 % sont donc effectivement comparables à la dynamique démographique des agglos de Préfectures, aux agglos des chefs-lieux de canton et aux communes qui n’appartiennent pas à une agglo.

En quelques sortes, le calcul à l’agglomération permet d’exclure les effets de périurbanisation à l’intérieur d’une agglo (perte de la commune centre vers sa périphérie).

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